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Les échanges artistiques aux XIXe et XXe siècles

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, la France est la destination privilégiée de nombreux artistes américains qui viennent y parfaire leur formation. Paris est alors la capitale artistique : ses académies, ses écoles, ses ateliers attirent peintres et sculpteurs du monde entier. Les colonies artistiques proches de la capitale - Barbizon, Auvers-sur-Oise, Giverny, Grez-sur-Loing -, celles de Honfleur en Normandie, de Pont-Aven en Bretagne, accueillent volontiers les peintres étrangers. Quand ils ne peuvent suivre les cours de la prestigieuse École des Beaux-Arts - réformée en 1863 mais inaccessible aux femmes jusqu’en 1897 -, les artistes américains travaillent dans des ateliers privés sous la direction de peintres comme Léon Bonnat (1833-1922), Jean-Léon Gérôme (1824-1904) ou Carolus-Duran (1838-1917), ou s’inscrivent à l’Académie Julian, créée en 1868.

En savoir plus : l'Histoire par l'image

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1850-1914

Ne pouvant accéder au Prix de Rome, réservé aux artistes français, les Américains exposent régulièrement au Salon où l’État réalise de nombreuses acquisitions pour le Musée du Luxembourg. C’est ainsi que Le Bosquet de Gari Julius Melchers, ou Lumière

Le Marquis de La Fayette par David d'Angers

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Le retour du troupeau, vers 1899

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Le Bosquet, 1908

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Autoportrait de Leo Stein

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Panthère sur un rocher, 1908

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Le fonds Anne Morgan (photos et vidéos)

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La Première Guerre Mondiale